Le cabaret a cessé son activité : Alain et Geneviève ont pris leur retraite et il n’ y a pas d’acquéreur pour l’instant.

3 commentaires

  1. LESNARD Alain

    puisque je vois que les « frais » incombant à l’artiste semblent faire polémique
    je tiens à préciser que les frais sont partagés à parts égales entre l’artiste et Le Cabaret, le montant total restant au libre choix de l’artiste
    et surtout la commission de 10 % retenue sur le montant des ventes me semble très inférieure à ce qui se pratique dans le milieu des galeries
    je ne pense vraiment pas m’être enrichi sur le dos des artistes (ce qui n’a jamais été mon but)
    cordialement
    Alain LESNARD

  2. Je garde un excellent souvenir de mon passage au Cabaret. Bonne ambiance, des patrons sympas.

    Je regrette néanmoins que des frais qui incombent à l’artiste n’ait été clairement stipulés sur la convention d’exposition. Frais que j’ai découvert être à ma charge au moment du « partage » …
    Les ventes ayant été au rendez-vous, je n’ai pas trop insisté…

    Je conseille malgré tout ce lieu d’exposition aux artistes.

  3. Je trouve un peu fort de café la « part » qui revient à l’artiste: boissons, apéros, cartons d’invitation, affiches pour la pub ,60 enveloppes timbrées (!!)… Je reste fermement convaincue que ce n’est pas à l’artiste de le faire (fort heureusement d’ailleurs ce n’est pas l’usage !). Si l’artiste doit effectivement faire sa part de boulot et dédommager le lieu qui l’accueille pour sa promotion c’est en cédant un pourcentage de ses ventes. S’il a envie de participer un peu plus c’est à lui d’en prendre l’initiative. Un lieu (et d’autant plus un commerce) fait la promotion d’un artiste et celui-ci dédommage en retour, normal. Cependant, l’hébergeur n’a pas à faire payer à l’artiste une partie des dépenses qui lui incombent d’autant que dans ce cas, c’est son métier d’investir, de promouvoir et de vendre, de veiller aux déconvenues liées à son chiffre d’affaires, et qu’il a toutes sortes d’outils juridico financiers pour gérer son business. Subtile mais néanmoins discutable inversion où l’artiste participe à la promotion du lieu et non l’inverse ! Si certains y ont trouvé leur compte ça ne prouvera rien : ce sont les exceptions qui confirment les règles. Albine.

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